La dominatrice trans sur Lyon.

Que tu sois novice ou expérimenté en tant que soumis, que tu sois un grand maso ou que tu ne puisses pas recevoir de marques, que tu sois obéissant et serviable, ou joueur à tester mes limites, je saurais étendre mon emprise sur toi, t'emmener dans un monde entièrement à part, et te faire adorer être utilisé pour mon plaisir.

Mon BDSM
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Anciennement ingénieure en informatique, la domination est désormais ma seule activité, et cela fait maintenant trois ans que je pratique le BDSM.

Je prends mon plaisir de bien des manières différentes, que ça soit en transformant ma victime en grosse salope, qui prend des gifles et en redemande, ou en apportant tellement de douceur que mon soumis fond en larmes dans mes bras. En te rencontrant, je développerais une idée de ce que je voudrais faire de toi, et j'utiliserais les différents instruments à ma disposition et les différentes pratiques que je maîtrise pour réaliser ma volonté.

En termes de pratiques, tu peux me demander par message et je t'enverrais une liste quasi-complète. Sache simplement que je ne fais pas de séance à la carte, je décide de ce que je te fais faire ou subir. Je n'embrasse pas, je ne suis pas passive, et je ne suis pas intéressée par le protocolaire. Pas besoin d'artifices, je sais faire la différence entre un soumis sous mon emprise qui me tutoie, et un homme qui me vouvoie mais qui cherche seulement à obtenir ce qu'il veut.

Lorsque je te reçois, tu es sous mon contrôle. En-dehors d'une règle -Ne jamais retirer soi-même un collier ou des menottes que je t'ai mis-, tu ne peux pas mal faire. Ton corps réagit tel qu'il réagit. Je suis responsable de ton bien-être ainsi que de ton plaisir, ainsi que du mien bien entendu. Lorsque je te donne un ordre, je te demanderais de le suivre instinctivement, et de ne pas rester inactif par peur de mal faire. Si je me suis mal exprimée, je te dirai quoi faire plus précisément. De manière générale, je donne assez peu d'ordre, et préfère guider physiquement.

Qu'est-ce que je préfère ? Je n'aime pas du tout cette question. J'adore les pizzas, mais je ne mange pas de la pizza à tous les repas, surtout au petit-déjeuner (sauf lendemain de soirée). Donc oui, j'aime beaucoup provoquer des émotions dures, que ça soit de la peur, des larmes ou même de la dissociation. C'est ce que je fais principalement avec ma soumise. Mais ça ne veut pas dire que je n'aime pas faire du soft, au contraire. Et puis c'est mon rôle de créer un contexte dans lequel tu prends plaisir à des choses que tu n'aurais jamais imaginé. Et de la même manière, certains soumis me pousse à découvrir des choses que je n'aurais pas pensé apprécier auparavant, et c'est un très beau cadeau de leur part.

La première rencontre
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Tu as reçu l'adresse plus tôt dans la journée, à quelques pas d'Hôtel de Ville. Tu as réalisé un lavement au préalable si tu es ouvert à l'anal, et tu portes une tenue de ville classique. Tu es maintenant dans un espace dédié à ma pratique, fournis d'une croix de St-André, ainsi que d'une table de gynécologie, comme sur les photos. Après t'avoir servi un verre d'eau pour te rafraîchir, je te pose des questions sur toi et sur tes éventuelles expériences précédentes. Je t'explique le déroulement, que ça prendra le temps qu'il faut mais en général dans les alentours de 2h, puis je te demande tes limites et éventuellement tes contraintes de santé. Tu sauras qu'à tout moment tu peux dire rouge pour arrêter, qu'il y a une règle à respecter : Ne jamais retirer soi-même un collier ou des menottes que je t'ai mis. A travers tes réponses, de ce que tu me dis, et de ce que tu ne me dis pas, je réfléchis à comment je vais orienter la séance. Je te donne des détails supplémentaires en fonction. Puis je t'ordonne de te déshabiller complètement.

Une fois la séance en elle-même aboutie, je te laisserais prendre la douche pendant que je fais un rangement/nettoyage rapide, puis on prendra un temps de calme pour se poser et transitionner sereinement vers le retour à la vie normale.

Me contacter
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Je pense que tu peux comprendre que j'ai un emploi du temps très rempli, rends toi service et maximise tes chances :
- Envoie un message écrit. Je ne réponds pas aux appels, et n'écoute pas les messages vocaux. Je répondrais quand j'aurais le temps de traiter mes messages, ce qui peut parfois prendre un jour ou deux.
- Priorises WhatsApp.
- Si tu es respectueux, je suis bienveillante. Sache simplement que je n'hésiterais pas à te dire ce que je pense de toi.
- Commence à réfléchir à tes disponibilités. Je suis rarement disponible pour le jour même.
- Si tu ne sais pas trop quoi écrire, simplement dis moi ce à quoi tu penses. Tu as bien plus de chances que je réponde à \\\"Bonjour, je suis très attiré par votre annonce, mais je n'ai jamais fait ça, je ne sais pas trop comment ça se passe.\\\" plutôt qu'à un simple \\\"Bonjour\\\".
- Tes insécurités t'appartiennent, je me fiche de ton physique, de ton âge, de tes origines, et encore plus de ton pénis. Je demande simplement du sérieux.
- Je comprends le besoin de réassurance avant une première rencontre, surtout avec les nombreuses fausses annonces, et je suis contente de discuter en amont pour apprendre à te connaître. Mais sache que mon temps est limité, et ce qui m'intéresse, c'est de rencontrer des personnes en réel. Si je perds l'intérêt dans notre conversation, comme toute chose qui ne m'intéresse pas, je ne vais simplement pas continuer.

Tu peux en apprendre plus sur moi sur mon site: gabrielle-l.fr, ou me contacter via WhatsApp ou Telegram au 0744958069.

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La peur de décevoir
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Ce cadre est dédié aux anxieux, qui ont toujours beaucoup trop de choses dans leur tête, un besoin de se livrer totalement à quelqu'un, mais aussi une peur immense de le faire.
J'ai beaucoup de choses à dire, et je pense que ça vaut même en dehors du BDSM, mais simplement : si j'accepte de te rencontrer, et que tu ne m'a pas menti, et que je suis déçue (ce qui n'arrive pas, je ne suis pas stupide, je sais filtrer), c'est ma responsabilité. Je comprends que l'idée qu'on puisse t'apprécier est incompréhensible pour toi, mais essaie au moins d'accepter que ce soit possible, même si tu ne comprends pas pourquoi.